Une formation intensive pour mieux vivre avec le bégaiement.
RIMA UNLIMITED lance une formation intensive de 60 jours destinée aux personnes confrontées au bégaiement ainsi qu’à leurs proches. Cette initiative vise à mieux comprendre ce trouble de la parole et à développer des stratégies concrètes pour le surmonter au quotidien.
Le bégaiement, qui affecte la fluence verbale, peut avoir un impact significatif sur la vie personnelle, sociale et professionnelle. Consciente de ces enjeux, RIMA UNLIMITED propose un programme d’accompagnement structuré, combinant outils orthophoniques, développement personnel et soutien émotionnel.
La formation, accessible au tarif de 37 dollars américains, comprend le matériel pédagogique ainsi que des pauses café prévues tout au long des sessions. Elle s’inscrit dans une approche inclusive et bienveillante, où chaque participant est encouragé à progresser à son propre rythme, dans un espace sécurisé.

Au-delà de l’aspect technique, le programme accorde une place centrale à la gestion des émotions et à la communication assertive. Les participants sont amenés à renforcer leur confiance en eux et à s’exprimer avec plus de fluidité et de sérénité, dans un cadre respectueux et adapté.
En ouvrant cette formation non seulement aux personnes qui bégaient, mais également à leurs proches, RIMA UNLIMITED entend favoriser une meilleure compréhension mutuelle et un soutien partagé. Une démarche qui contribue à déstigmatiser le bégaiement tout en outillant concrètement celles et ceux qui en font l’expérience.
Pour toute information ou inscription, les personnes intéressées peuvent contacter la responsable du programme, Christina Wete, habitant dans l’ancienne cité de Kimpese, territoire de Songololo, en province du Kongo Central (RDC), aux numéros suivants :
📞 +243 828 449 204
📞 +243 899 114 777

À travers cette initiative, RIMA UNLIMITED propose des solutions accessibles, humaines et efficaces face aux défis du bégaiement. Une opportunité d’oser s’exprimer, de retrouver sa voix… et de parler sans peur.
Josué Muleli