À Mbanza-Ngungu, dans le Kongo Central, un vent nouveau souffle sur la scène politique locale. Ce vent porte un nom : Joldy Disikila. Cadre du mouvement Congolais Acquis au Progrès (CAP), cet acteur politique engagé incarne une volonté claire : redynamiser sa famille politique et faire de son territoire un bastion du progrès et de l’unité.
Dans un contexte marqué par une soif de changement et une envie palpable de renouveau, Joldy Disikila s’illustre comme l’un des nouveaux visages porteurs d’espoir. Portant haut la vision d’un Congo fort, dynamique et prospère, telle que défendue par l’Honorable Néfertiti Bayokisa, il se veut catalyseur d’une dynamique politique inclusive et enracinée dans les réalités locales.
« Nous voulons un CAP proche de la population, à l’écoute de ses besoins, capable de proposer des solutions concrètes pour notre jeunesse, nos femmes, nos anciens. La politique ne doit plus être une affaire de promesses vides, mais d’engagement sincère », confie-t-il avec assurance.
Dans les semaines à venir, une série d’initiatives de terrain sera lancée. Rencontres avec les notables, échanges avec les jeunes, redynamisation des cellules locales, structuration des comités de base : tout est mis en œuvre pour remettre le CAP sur les rails et répondre aux aspirations d’un territoire souvent oublié.
Cette relance se veut également une adhésion à une vision nationale, celle du « Livre de la Vision », document idéologique du CAP qui prône une société équitable, créative, saine, où chaque Congolais a sa chance et contribue, à son niveau, à l’édification de la nation.
« Comme le colibri, chacun doit faire sa part. C’est avec cet esprit que nous irons vers les nôtres, non pas avec des discours, mais avec des actes. Mbanza-Ngungu doit être à la hauteur de son histoire et participer activement à la construction du Congo de demain », insiste Disikila.
À travers son engagement, Joldy Disikila s’impose comme le trait d’union entre la base et la vision nationale. Il veut reconstruire la confiance, mobiliser les intelligences locales et faire de Mbanza-Ngungu une terre d’initiatives et de responsabilités. Avec lui, le CAP s’apprête à écrire une nouvelle page dans le territoire. Une page de proximité, d’écoute et de mobilisation. Le renouveau est en marche. Et il a déjà un visage.
Josué Muleli
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